Créer c’est aussi savoir communiquer

Mon premier stage, que j’ai effectué avec Giovanni Ambrosio, touche déjà à sa fin. Ce fut une expérience riche et passionnante. J’ai eu l’opportunité de travailler sur ce que j’aime vraiment : la création de sites web et même quelques projets autour de la photographie. J’ai également voyagé en Italie, ce qui m’a permis de découvrir les différences entre deux mentalités professionnelles.

Cependant, cette note d’étonnement portera sur un aspect qui m’a accompagnée tout au long de ces deux mois de stage, et que Giovanni m’avait déjà mentionné lors de notre entretien : la communication.

Dans ce contexte, la communication ne se limite pas à un simple échange d’informations. Elle consiste à comprendre, à travers le dialogue avec le client, quel type de message il souhaite transmettre, quelle image il veut véhiculer et comment adapter la forme à ses objectifs. Autrement dit, avant de concevoir un produit visuel, il faut savoir écouter, poser les bonnes questions, puis guider le client vers des choix cohérents et réalisables. Car beaucoup espèrent un site ou une affiche à la fois beau, peu coûteux et immédiatement rentable. 

BD : communication avec le client

Mais le designer n’est pas un magicien. Il faut souvent passer des heures à déconstruire leurs attentes pour identifier ce qui est réellement essentiel, ce qui est techniquement faisable, et ce qui est cohérent avec leurs moyens.

Autrement dit, la première étape du travail sera toujours le dialogue. Ce qui m’a surprise, c’est que la deuxième étape est en réalité… la stratégie de communication. Avant même de penser au design visuel, il faut expliquer comment celui-ci servira à transmettre le bon message au bon public. Ainsi, le designer devient aussi communicant, marketeur, voire community manager. La question qui revient souvent de la part des clients est : « Combien de clients ce site ou cette affiche va-t-il m’apporter ? »

Cela peut sembler éloigné du cœur du métier, mais c’est en réalité très logique : le design n’existe jamais pour lui-même. Il a une fonction, souvent commerciale. Mais je savais pas qu’il fallait aller aussi loin dans l’analyse, l’argumentation et la pédagogie.

Et bien sûr, si tu travailles en freelance comme le fait Giovanni, tu n’auras pas autour de toi un marketeur, un analyste, un designer UX ou un community manager. Il faut assumer tous ces rôles soi-même et devenir un professionnel polyvalent pour rester compétitif sur le marché.

En fin de compte, j’ai compris que pour beaucoup de clients, la façon dont son produit est communiqué compte parfois plus que le design réfléchi, esthétique et harmonieux. C’est un peu frustrant, car les personnes extérieures au monde du design ne réalisent pas que ce n’est pas censé être la mission première d’un graphiste ou d’un web designer. Mais si on veut travailler aujourd’hui et rester demandé, il faut savoir s’adapter…

En résumé, ce stage m’a permis de découvrir l’envers du décor du métier de designer : un équilibre entre créativité et stratégie de communication.

Expérience immersive au-delà du stage

Entre apprentissage professionnel et découverte culturelle

locaux

Pour des raisons de confidentialité, je ne peux pas divulguer les images des projets.

Cela fait presque 1 mois que je suis à Séoul, et 2 semaines que j’ai commencé mon stage chez Heaz. Mais avant d’être une expérience professionnelle, ce stage est avant tout une véritable aventure, c’est la découverte de Séoul, une ville qui me fascine depuis longtemps, plonger dans une culture nouvelle, avec des codes sociaux , un environnement et des habitudes de vie bien différentes de celles de Paris. Au fil des jours, j’ai pu expérimenter 2 réalités complémentaires de la Corée du Sud : d’un côté, celle de la Touriste, arpentant les lieux emblématiques de Séoul, échangeant avec des locaux, observant le train de vie ; et de l’autre, celle de la Stagiaire intégrée dans une entreprise coréenne, découvrant les dynamiques de travail, les méthodes et les attentes du milieu professionnel local. 

C’est une immersion totale, une découverte complète du pays, à la fois humaine, culturelle et professionnelle. 

Siège centrale , Gangnam

Qui ? Où ? Comment ? Quoi ?

Heaz est une entreprise de design et de branding / packaging basée à Séoul existant depuis plus de 20ans, spécialisée dans la création d’identités visuelles et de stratégies de marque innovantes. Elle collabore avec une variété de clients, allant d’entreprises locales aux grandes entreprises internationales.

l’entreprise à un siège central situé à Gangnam, c’est là où je travail, ainsi que 5 autres antennes à travers Séoul.

Une immersion surprenante dès le premier jour

Dès mon arrivée chez HEAZ, j’ai été étonnées par la rigueur et l’organisation. Le 1er jour, June (tutrice) m’a partagé un dossier rassemblant l’ensemble des projets en cours, chacun classé avec méthode : phases de création, échanges avec les clients, fichiers sources… Tout était à sa place. En parcourant en profondeur le dossier correspondant à l’équipe que j’allais rejoindre, j’ai eu accès à leur drive interne. Ce fut ma première surprise : la richesse des ressources disponibles, la clarté des sous-dossiers, les éléments récurrents dans les recherches graphiques, le type de fichiers utilisés (jpg, pdf, ai, psd…), et surtout, la transparence dans la communication avec les clients.

Des premières appréhensions… et beaucoup de questions

Face à cette structure impressionnante, je n’ai pas pu m’empêcher de ressentir une certaine appréhension. Je me suis demandé : aurai-je les compétences nécessaires ? Pourrai-je suivre le rythme d’une agence aussi expérimentée ? HEAZ fonctionne avec une hiérarchie bien définie et des rôles clairement établis, et ce depuis plus de 20 ans. Ce système bien structuré soulève des questions : comment trouver ma place sans être un poids ? Quelles limites sociales ne pas franchir dans un cadre aussi codifié (culture coréenne) ? Comment communiquer efficacement, surtout en contexte bilingue ?

Un premier projet stimulant : la collaboration pour Luvum

Recherches project Luvum’s Birthday

J’ai eu l’opportunité de participer à un projet pour la marque coréenne de cosmétiques Luvum, à l’occasion de leur 5e anniversaire. La marque a fait appel à HEAZ pour concevoir un kit destiné aux influenceurs. Nous étions quatre sur ce projet, chacune chargée de proposer une idée avec croquis, illustrations et références visuelles.

Et là, j’ai été véritablement embarquée au cœur de leurs habitudes de travail : malgré la barrière de la langue, tout s’est déroulé avec une étonnante fluidité, sans stress, et dans un climat très serein. J’ai été surprise par le temps qui nous était accordé pour réfléchir, ainsi que par la mise en place de briefs réguliers pour suivre l’avancement de chacune. J’avais beaucoup d’appréhensions au départ — c’était mon premier vrai projet en équipe dans un environnement aussi structuré — mais j’ai vite compris que leur fonctionnement, bien rôdé, rendait les choses à la fois efficaces et naturelles.

Après quelques jours de réflexion personnelle, nous avons présenté nos idées lors d’un brief collectif. Ce moment d’échange nous a permis de repérer des similitudes dans nos approches, et nous avons progressivement fusionné nos concepts pour n’en garder que deux, aboutis et cohérents. La marque a finalement retenu la deuxième proposition, et nous travaillons désormais à la production des éléments graphiques concrets.

Une cohérence graphique bluffante

Ce qui m’a particulièrement marquée dans ce premier projet, c’est le fait d’avoir eu, en amont, le temps d’explorer leur démarche de création, leurs codes graphiques, leurs mockups récurrents… Cela m’a permis de comprendre leur langage visuel et de m’y intégrer en respectant leur identité. On perçoit immédiatement, à travers les projets, qu’il s’agit des mêmes designers : une vraie cohérence se dégage dans tout ce qui est produit.

Une efficacité presque déconcertante

Ce qui m’a vraiment étonnée, c’est à quel point tout fonctionne de manière fluide chez HEAZ. Il y a plusieurs projets en parallèle, des deadlines à respecter, des équipes différentes… et pourtant, rien ne semble chaotique. Pas de stress visible, pas de tension, tout avance avec une impressionnante sérénité.

Je pense, selon moi, que c’est justement la culture coréenne qui influence ce bon fonctionnement. Il y a une vraie structure, une hiérarchie respectée, chacun sait exactement ce qu’il doit faire, et tout le monde avance dans la même direction. C’est hyper bien organisé, et on sent que cette rigueur est profondément ancrée dans leur manière de travailler. C’est cette culture du respect, du collectif, et de l’harmonie qui rend le travail aussi fluide — c’est vraiment bluffant à observer.

Marjane Yefsah

Comment dire…

Bien qu’il s’agisse d’une formulation banale ; c’est passé si vite ! Déjà six semaines que je me présente chez Atalia et que je participe à leur routine. Malgré les quelques surprises lors de mon arrivée, je me suis vite acclimaté à cette nouvelle ambiance et aux projets que l’on m’a confiés.

Depuis ma première note, tout s’est accéléré. J’ai été affecté à des projets plus consistants, de quoi combler mes envies créatives. Cependant je dois avouer que je reste sur ma faim, particulièrement en ce qui concerne l’acceptation et l’intégration de mes idées. En tant que designer graphique, mon rôle reste de proposer des concepts innovants pour améliorer la communication de l’entreprise, du moins c’est ce que j’imaginais.
Et pourtant l’équipe me fait souvent obstacle. Il n’y a aucune animosité heureusement, les relations avec l’équipe restent cordiales et professionnelles, mais les limites de temps ou d’envie concernant la communication de certains projets me forcent à abandonner mes idées. Il semble que l’équipe soit attachée à des méthodes et styles plus traditionnels, ce qui rend difficile l’introduction de nouveautés. Cette situation est assez frustrante, car je suis convaincu que mes idées pourraient apporter une réelle valeur ajoutée.

J’ai donc, de manière assez naturelle, décalée celles-ci dans mes projets personnels, ce que je trouve bien triste. Je m’attendais, dans un monde parfait certes, à aligner parfaitement mes envies avec mon travail. Mais il est clair qu’une utopie comme celle-là me ferait tomber de haut. J’avais espéré pouvoir exprimer pleinement ma créativité au sein de l’entreprise, mais je comprends que chaque organisation a ses propres contraintes et priorités.

J’aimerai également revenir sur un point : la communication au sein de l’entreprise. Les échanges se font principalement via Skype, et j’ai ressenti un manque d’interactions directes et spontanées. Bien que compréhensible dans un contexte professionnel, cette distance numérique complique également la défense de mes idées, car il est parfois difficile de transmettre la passion et l’enthousiasme via des messages écrits ou des appels vidéo. Le manque de communication en face-à-face peut aussi nuire à la compréhension mutuelle et à la dynamique d’équipe, du moins c’est ce que je ressens.

Sans vouloir inquiéter qui que ce soit, mon stage se déroule bien tout de même ! Je reste assez admiratif du monde professionnel et des disponibilités que cela inclut. Cela ne fait que croitre mon envie de partager mes projets et de travailler en collaboration avec d’autres personnes, dans un cadre graphique, du design ou même autre. Ce stage m’aide également à préciser mon parcours professionnel et mon envie de postuler en alternance suite à cette dernière année en DNMADE.

Une atmosphère inattendue

Première semaine de stage chez Atalia : me voilà plongé dans un environnement professionnel et ludique. Et malgré sa proximité avec l’univers si divertissant des jeux de société, Atalia me surprend par son contraste apparent.

Dès mon arrivée, j’ai été frappé par l’atmosphère singulière régnant dans les locaux de l’entreprise. Contrairement à l’image que je m’étais imaginé d’un tel environnement, où la communication et le partage sont au cœur des échanges, je me suis retrouvé dans un espace restreint, en compagnie uniquement du gérant de l’entreprise. Des murs blancs, quelques jeux accrochés au mur et deux bureaux face à face. La sensation de proximité que l’on associe souvent aux jeux de société s’est ainsi trouvée quelque peu altérée.
Cette surprise s’est ensuite amplifiée à mesure que je découvrais les méthodes de communication utilisées au sein de l’entreprise, principalement basées sur des outils tels que Skype.
Cette dématérialisation des échanges, bien que cohérente avec les réalités du monde professionnel contemporain, m’a semblé éloignée de l’interaction directe et conviviale que je m’étais imaginé.

Cependant, l’étonnement le plus saisissant est venu de l’autonomie dont j’ai bénéficié dès les premiers jours de mon stage. Bien que des tâches précises et des objectifs concrets me soient assignés, j’ai été frappé par la liberté qui m’a été accordée dans la manière de les aborder et de les réaliser. Contrairement à mes attentes, où je pensais être encadré de manière plus étroite, j’ai été confronté à la nécessité de prendre des décisions par moi-même.

Je tiens également à noter que les projets qui me sont confiés sont orientés vers la communication des produits et les échanges entre distributeurs, plutôt que sur les jeux en eux-mêmes. Bien que cela puisse différer de mes attentes, je trouve néanmoins ces missions très intéressantes.
Elles me permettent d’explorer l’univers ludique sous un angle différent, tout en exigeant un travail de réinvestissement des chartes graphiques des jeux, ce qui représente un certain défi pour moi.

Il est évident que l’entrée dans le monde professionnel après des années d’école est surprenante. Pas tant par les méthodes et les protocoles de travail que par les habitudes.
C’est troublant de se retrouver dans des locaux en banlieue parisienne, sans avoir à attendre les horaires d’ouverture ou à débuter sa pause déjeuner à une heure précise. Le simple fait de déroger à la routine qui s’était installée depuis le début du DNMADE me stimule au plus haut point.

J’ai hâte de voir ce que qu’Atalia me réserve pour les prochaines semaines !

Accepter la critique

La critique, bonne ou mauvaise chose ?

Voilà maintenant 8 semaines que je suis au sein d’Alexandre.J.  Mon stage se passe très bien, il y a une bonne cohésion d’équipe et les missions que je réalise me plaisent beaucoup. Mes missions consistent à alimenter leurs réseaux sociaux ( instagram, Facebook ), je réalise donc des visuels, des vidéos, ainsi que des bannières pour les newsletters. 

La charge de travail est très importante, en effet je suis en constante réalisation, en une semaine je réalise au minimum, un shooting photo, 3 ou 4 vidéos, 1 ou 2 bannières, sans compter les réalisations de visuels de dernières minutes. Ce rythme effréné peut-être très stressant, mais je pense que c’est aussi une bonne chose, car il permet d’être toujours active et d’être en constante recherche d’idées créatives pour réaliser du contenu de qualité qui plaira aussi bien à l’équipe qu’aux followers. Cette charge de travail conséquente m’oblige donc à avoir une organisation méthodique.

Après chaque création je dois les faire valider par mon équipe pour que je puisse ensuite les poster sur les réseaux sociaux. Cette phase de validation est toujours un peu angoissante, mais elle permet de savoir si ce que j’ai réalisé répond bien à la demande et si cela plaira visuellement. 

Généralement il y a toujours des petites modifications à prévoir, comme agrandir le texte, modifier les couleurs, etc. Mais pour d’autres projets il faut parfois le revoir de bout à bout car le résultat ne correspond pas à la demande, ne plaît pas visuellement ou parce que la demande avait été mal comprise dès le départ. Cela peut être un peu frustrant de devoir recommencer un projet de zéro, car le temps de réalisation avait peut-être été conséquent et que les avis concernant le projet pouvaient être divergents. 

En relation avec ma première note d’étonnement « Donner son avis », accepter la critique et les réponses négatives font partie de notre travail. En effet, en donnant mon avis sur le site web ou encore leurs réseaux sociaux, je leur fais une critique de ce que j’aime ou non et de ce qu’il faudrait revoir selon moi. Alors lorsque je dois faire valider mes réalisations, l’équipe me donnent également son avis et me fait une critique constructive pour améliorer mes projets.  

La critique ne doit pas être prise pour quelque chose de péjoratif, mais comme une opportunité de s’améliorer dans son travail, même si les avis sont différents. Lors de nos deux premières années de DNMADE nous avons souvent été confrontés aux regards et aux avis des autres sur nos projets. Cela nous permet de savoir ce que les autres pensent, d’avoir un avis extérieur. 

Selon moi la critique constructive est une bonne chose, elle permet de nous perfectionner, d’apprendre et de grandir aussi bien dans notre vie professionnelle que personnelle. 

BD – ACCEPTER LA CRITIQUE – STAGE ALEXANDRE.J – 2021

Donner son avis

Peut-on donner son avis en toute sincérité, tout en étant stagiaire ? 

Lundi 22 mars, premier entretien dans les locaux d’Alexandre. J. 

Lors de cet entretien étaient présentes Amélie Jabban, la Global Brand manager de l’équipe et Estelle Bach, ma tutrice . Elles me posèrent les questions classiques suivantes : dans quelles études j’évolue, quel métier j’aimerais exercer plus tard. Quand vient la question fatidique, « que pensez-vous de notre site internet ? ». De manière impulsive, je répondis que je n’étais pas totalement convaincue et que leur logotype ne me plaisait pas, sans trop donner d’explications. L’entretien se finit, je sors des locaux, et je me dis immédiatement que j’ai fais une énorme erreur. 

Qui voudrait prendre une stagiaire qui donne un avis négatif sur leur site web et leur logo dès le premier entretien ? 

Quelques jours passent et je reçois finalement une réponse positive. Cela fait maintenant deux semaines que je suis au sein de cette entreprise en qualité de stagiaire graphiste. Je réalise de nombreux contenus pour leurs réseaux sociaux, Instagram, Facebook, Pinterest et pour leur site internet. Je suis donc régulièrement sollicitée pour donner mon avis sur ce qu’il faudrait changer ou non dans leur contenu. 

Mais alors, puis-je réellement dire ce que je pense ? 

Dans un milieu où le moindre faux-pas peut être déterminant, la prise de parole doit être mûrement réfléchie, afin d’éviter la prise de parole inutile ou encore de dire des choses qui dérangent. En effet nous aurions par habitude ou par manque de confiance, de dire les choses qu’ils attendent et d’aller dans leur sens pour n’embarrasser personne. Du moins c’est ce que je pensais. 

En réalité notre avis compte tout autant, surtout s’il est honnête. De fait par notre jeunesse, notre regard neuf et ou encore notre avis extérieur, notre jugement peut être constructif et bénéfique pour le développement de l’entreprise. Lors de ce stage j’apprends donc à donner mon avis. Qu’il soit positif ou négatif, Il doit être avant tout constructif, et il doit être toujours argumenté et accompagné de nouvelles propositions. 

Je constate alors que c’est une réelle opportunité de partager ses idées et ses envies. De plus cela me permet de prendre confiance en moi, de m’affirmer et d’être nettement plus à l’aise dans ce nouvel environnement. Cela me donne le sentiment de faire partie de l’équipe et que mon avis sera entendu.

Mais est ce que cette transparence pourrait être bien accueillie dans toutes les entreprises ?

BD – DONNER SON AVIS – STAGE – 2021