Le Crowdfunding

 Le grand projet de ce stage à été la campagne de Crowdfunding du projet «Utopies(s)?» par Datagueule lancé fin avril 2020 et qui a pris fin le 14 juin 2020. Cette campagne consistait donc à rassembler 200 000 € de donations afin de financer la nouvelle série de documentaire sur les Utopies. Avec le confinement, cette campagne semblait mal partir. En effet faire parler d’un projet qui n’apparaîtra que bien des mois après le confinement alors que la majorité de la population Française était préoccupée par le virus et de son avancée. De plus, nous sommes en télétravail ce qui ralentit l’organisation de certains événements permettant de soutenir la campagne. Pour exemple, l’agence avait prévu d’organiser des interviews sur le thème des utopies avec des philosophes des maîtres de conférences et des historiens afin de les publier sur la chaîne YouTube Datagueule pour faire ainsi parler du projet. Cependant la totalité de ses interviews, on été réalisé à distance en raison du confinement via Skype ou Zoom et parfois sans images ce qui a donc réduit la qualité des interviews. Cependant ce qui fut vraiment étonnant, c’est la communauté que possédais de base Datagueule, communauté acquise au fil des années avec les vidéos d’animation nommé «Datagueule» c’est donc avec le soutiens de cette communauté que le nouveau projet à commencé à prendre de l’ampleur. De plus, la période de confinement à au fur et à mesure servis notre cause, car étant donné que les gens sortent peux, ils sont donc plus sur leurs écrans et donc peuvent être donc plus facilement mis au courant de notre projet via les réseaux sociaux. Plus on invitait de personnes pour nos interviews plus notre réseau grandissait, nous permettais de nous faire mieux connaître et donc de pouvoir organiser de meilleures rencontres. Pour exemple, on peut citer le Live du jeudi 11 juin organisé dans les bureaux de Datagueule ou des influenceurs et les créateurs du projet ont pu échanger sur le sujet de l’Utopies. Ce live à été un énorme coup de pouce, car il ne nous restait que peu de temps avant la fin de la campagne et il nous manquait encore 1/4 quart de la somme voulus et grâce à ce live nous avons très vite remplis notre objectif final. Il n’y a bien sur pas eu qu’un seul live pendant cette campagne, mais ce dernier a été le plus marquant, car les autres ressemblaient plus à des FAQ (foire aux questions) entre la communauté et les créateurs du projet Utopies.

Page youtube de la chaine « Datagueule »
Live Youtube du jeudi 11 2020 de ma chaine « Datagueule »

Ce que j’ai retenu, c’est que pour un projet aussi ambitieux, il faut être préparé à toutes les éventualités. En effet, l’agence a sut répondre rapidement aux contraintes lié au confinement afin de poursuivre le calendriers qu’il s’etait fixé. Il faut aussi noter qu’entretenir un lien avec sa communauté est important. Certe aux premiers abords, on a l’impression d’agir comme un influenceurs instagram qui réalise un placement de produit pour gagner de l’argent sauf qu’ici, on demande un financement à un public pour créer un projet pour justement le montrer a ce dernier. Tout dépend de la façon dont nous parlons à ce publique, car ceux qui rejoignent notre communauté nous soutiennent et pensent comme nous que notre projet vaut le coup d’être réalisé.

Travailler chez soi

 Le Covid-19 fut un des événements qui m’a beaucoup étonnée pendant ce stage car le confinement à beaucoup affecté mon expérience durant mon stage de 3 mois étant donné que je suis donc resté dans mon appartement devant mon ordinateur sans réel contact humain. De plus, l’arrivée assez soudaine de ce confinement a énormément affecté mon comportement pendant mon stage. En effet le télétravail à beaucoup ralentit le lancement du projet de la boite où j’effectuais mon stage et donc le travail que je devais recevoir à mi du temps à me parvenir. Durant ces périodes d’attentes je me retrouvais posté devant mon ordinateur à ne rien faire car je n’osais pas travailler sur un autre projet ou bien regarder un tuto ou bien me détendre sachant qu’a tout moment je pouvais recevoir une demande de travail qui pouvait me stopper dans mon travail personnel. De plus le sentiment de culpabilité de faire une activité n’ayant que très peu de rapport avec mon stage sur le temps de travail de ce dernier était assez pesant.

Le télé travail pose donc déjà un problème dans ma manière d’agir et de me comporter lors de mon stage mais il affecte également mon processus de travail suite à une demande de réalisation de mon maître de stage. En effet lorsque m’on maître de stage me demande de réaliser un visuel, un détourage ou bien une vignette, je dois donc à chaque fois lui envoyer un mail avec le premier visuel réaliser qu’il devra envoyer à d’autres personnes de l’agence pour savoir si il est validé ou si je dois faire des corrections et donc prendre le chemin inverse de cette chaine de mail dans le chemin inverse. Étant données que nous nous envoyons nos travaux par mail je me suis donc rendu comte que cette chaîne de mail prenait du temps et je devais donc anticiper les critiques possibles que j’allais recevoir pour éviter le maximum de retour négatif afin de réduire le temps de réalisation pour un visuel. Je devais donc créer plusieurs variantes pour faire donc plusieurs propositions ce qui pouvait parfois me faire obtenir au final un fichier psd très lourd et du coup qui prenait de la place sur mon ordinateur.

Le télétravail, pourtant, me semblait positive avant le début de mon stage, car je suis installé confortablement chez moi, je n’aurai pas ressenti de pression dû au cadre du lieu de travail, je n’avais pas de trajet de métro à prendre et donc je pouvais dormir beaucoup plus longtemps, on pouvait presque penser que j’étais beaucoup plus libre. Cependant le manque d’encadrement au début de mon stage m’a beaucoup surpris et déstabilisé et j’ai donc pris un peu de temps afin de m’habituer à cette nouvelle façon de travailler.

On peut donc dire que le télétravail peut au final paraître négatif si on l’agence où on travail ne c’est pas adapté pourtant le graphiste travaille généralement via un ordinateur et transmet son travail via ce support. Cependant il ne faut pas oublier que le graphiste n’est pas seul il à un employeur, une équipe qui travaille avec lui et il faut donc qu’il veille lorsqu’il travaille à répondre juste dès le départ à la demande qu’on lui soumet mais aussi rapidement pour ne pas ralentir le projet mis en place par l’agence.

Les Plug-ins

 Du 6 avril au 10 juillet, je me suis retrouvé en contact avec le motion designer Kinowski grâce à la boite dans lequel j’effectue mon stage. Ce dernier possède plus de 30 ans d’expérience et a pratiquement connu l’évolution du motion design. À partir de nos échanges, une première réflexion trotta dans mon esprit. En effet, lorsque je compare nos logiciels d’animation comme Adobe After effect. Je constate directement une différence d’interface, la sienne est beaucoup plus fournis que la mienne, car Kinowski modifie ses logiciels afin de simplifier et d’accélérer son travail. À partir de ses premiers conseils pour améliorer mon interface, je me lance dans la recherche de plug-in et de programmes. Cependant, un questionnement s’impose à moi. Est ce que rajouter des fonctions et des outils à un logiciel le rend forcément plus facile à utiliser. Certes, lorsque j’ajoute une fenêtre à mon interface qui me permet d’aller plus rapidement à un outil du logiciel, je gagne du temps que je n’ai pas besoin d’aller dans les menus et sous menus de ce dernier. Par contre cette fenêtre reste quand même présente dans mon interface malgré le fait que je l’ai déjà utilisé. Je me retrouve donc avec une interface beaucoup plus chargé qui réduit donc mon espace de travail. Et c’est donc là que le dilemme s’impose, car à force de remplir mon interface de raccourci et de fenêtres je dois en même temps revoir ma façon de travailler sur le logiciel et donc changer mes habitudes afin de l’habituer à ce nouvel espace de travail pour être nettement plus productif. Un des exemples les plus évidents est lorsque j’ai voulu introduire le plug-in «Element 3D» crée par le site VideoCopilot de Andrew Kramer. Ce plug-in permet de créer ainsi qu’animer des objets 3D dans le logiciel Afters Effects qui étais plutôt limité dans le domaine de l’animation 3D. Ce plug-in reprend la quasi-totalité des fonctions du célèbre logiciel d’animation 3D «Cinema 4D». On peut donc trouver cette idée de plug-in plutôt fantastique aux premiers abords, mais on se rend vite compte que ce dernier prend énormément de place que soit au niveau du stockage dans l’ordinateur que dans l’interface. En effet, comme je l’ai dit auparavant Element, 3 d reprennent le logiciel Cinéma 4D dans After Effects. Il va donc intégrer tous les outils d’un logiciel dans une fenêtre qui fait environ 1/10 de mon interface. Je me suis retrouvé donc avec une fenêtre contenant un nombre incalculable de sous-parties rendant la durée d’ apprentissage de ce plug-in interminable.

Interface AE

On a donc beau modifier un logiciel afin de le rendre plus performant plus pratique plus utile, cela n’empêche pas que nous soyons handicapées par ces modification, car ils nous forcent à revoir notre manière de travailler afin d’acquérir de nouveaux reflexe pour être plus rapide dans nos productions. Cependant le piège est de ne pas tomber dans l’excces est d’installer des raccourcis pour tout est n’importe quoi, car on peut facilement se perdre et tomber dans la facilité. Si par exemple je devais travailler sur un autre ordinateur que le mien, je ne serais pas apte, car il ne possédera pas mes raccourcis et mes plug-in. Il faut donc savoir trouver un juste-milieu dans l’organisation de son espace afin d’entre fluide dans son travail sans pour autant tomber dans la facilité.

Les moyens et le fonctionnement de communication dans une agence en période de confinement

Ce stage ayant commencé pendant la période du confinement, le télétravail s’imposait. De ce fait, mon expérience du travail en équipe est assez particulière et inédite pour une stagiaire dans une agence de communication.

Avant de commencer mon stage je me demandais quels étaient les moyens de communication dans une agence et leur fonctionnement en période de confinement ? Est-ce qu’un travail de collaboration est possible malgré les kilomètres nous séparant ?

Pour travailler en équipe à distance, la communication est primordiale. Pour ce faire, nous utilisons différents moyens de communication, qui sont le téléphone et des applications, comme Zoom pour des appels en vidéoconférence, très utile pour travailler en direct sur des projets grâce au partage d’écran. Nous utilisons également Slack et WhatsApp afin de communiquer soit en groupe soit en privé. L’application Slack permet de créer des « canaux » de discussion, nous en créons un pour chaque projet. Ainsi, quand nous travaillons sur un projet et que nous voulons faire part de certains détails au reste de l’équipe, nous utilisons le canal dédié à ce projet pour se retrouver plus facilement dans les différentes discussions. Nous créons également des canaux avec les clients afin qu’ils nous fassent des retours directement par Slack. Cette application est pratique car nous pouvons l’utiliser sur un ordinateur et sur un téléphone. Elle permet également de transférer des fichiers et des documents volumineux, contrairement à d’autres applications comme WhatsApp.

J’ai remarqué que je n’utilise pas les mêmes outils de communication avec les différentes personnes de l’équipe. Par exemple, avec mon maître de stage, qui se charge d’être en relation avec les clients et qui décroche les contrats, j’utilise les applications Zoom, WhatsApp et Slack. Nous échangeons principalement grâce aux appels, plus ou moins longs, afin qu’il me transmette les retours des clients pour le suivi de projet. Nous communiquons surtout grâce au téléphone et lorsque nous devons faire un point sur un projet, ou bien lui montrer où j’en suis dans mon travail, nous utilisons zoom pour des appels plus longs, afin qu’il me fasse des briefs. Cela me permet de faire des modifications pendant notre entretien pour qu’il puisse voir le rendu via le partage d’écran.

J’échange également avec une deuxième personne de l’équipe, le développeur web. Il est chargé de développer les sites ou les applications web, en suivant un cahier des charges et des wireframes. Nous communiquons principalement sur WhatsApp, nous utilisons de brefs messages vocaux, des messages textes, ou bien de courtes captures vidéos de nos écrans. Nous travaillons ensemble sur les projets, ce qui nous oblige à communiquer continuellement au cours de notre avancée. Si l’un de nous deux rencontre un problème nous en faisons part à l’autre et nous nous répartissons les tâches également par WhatsApp. Cette discussion permanente au cours du travail nous permet d’aller plus vite et de savoir exactement où en est l’autre. Ce procédé est moins contraignant qu’un appel vidéo, car cela nous détourne moins de notre travail. J’ai pu réaliser que nous travaillons aussi rapidement que si nous n’étions pas en télétravail et nous nous comprenons tout de même facilement malgré la distance.

Ainsi, le télétravail ne nous a pas empêché de communiquer correctement pour le bien des projets. En effet, grâce aux outils de communication actuels, nous pouvons échanger sans difficulté et malgré la distance. La différence des systèmes de communication entre l’équipe s’explique par nos rôles et nos besoins d’échanges. Effectivement, lorsque je suis sur un projet de site et que je dois communiquer rapidement avec le développeur web, afin de pouvoir vite avancer sur le projet, nous préférons utiliser de courts et nombreux échanges. Par ailleurs, avec mon maître de stage je communique pour des briefs, ses appels sont souvent longs car il me fait un retour du client afin d’améliorer le projet. Cette période m’a montré qu’un travail en collaboration est possible et efficace malgré les kilomètres qui nous séparent.

Les défis de la communication d’une agence avec ses clients

Cette période trouble du confinement a chamboulé le monde et les manières de travailler. L’agence de communication, bien qu’âgée de quatre ans, n’avait jamais eu recours à de nouveaux moyens de communication avec ses clients. Elle devait faire face à un nouveau challenge. De ce fait, certaines questions se sont posées :

Comment en période de confinement une agence de communication peut-elle communiquer correctement avec ses clients et rester dans un échange humain ? Comment gagner la confiance de nouveaux clients, sans passer par les traditionnelles premières rencontres ? De ce fait, en quoi cette période a-t-elle modifier le fonctionnement de communication de l’agence ?

L’agence devait donc rebondir au début de cette période, trouver de nouveaux moyens de communication et trouver de nouvelles manières pour démarcher les clients sans pouvoir les rencontrer.

Auparavant, l’agence préférait communiquer par email et par téléphone avec ces clients, maintenant elle les a initiés à de nouveaux moyens de communication comme les applications Zoom et Slack. Les clients ont suivi une courte formation car ils n’étaient pas adeptes de ces outils. Ils étaient habitués à venir une fois par mois à l’agence, mais depuis peu ils ont appris à utiliser zoom pour les longs briefs et pour le suivi de projets. Nous nous sommes rendus compte que passer par ces moyens de communication faisait gagner du temps à tous, car il n’y a plus besoin de se déplacer. Le partage d’écran de l’application Zoom, permet de montrer le rendu directement et donc d’éviter un rendez-vous en agence.

Aujourd’hui, les clients habitués à travailler avec l’agence, n’ont plus besoin de se déplacer, ils ont accepté de communiquer par vidéoconférence car ils avaient confiance en l’équipe. De ce fait la communication avec les clients actuels n’a pas posé de problème, ils étaient déjà rassurés. Mais il y avait bien plus de réticence avec les nouveaux clients qui ne sont pas habitués aux nouvelles technologies, certains ont même préféré reporter leur projet après le déconfinement, car ils étaient trop attachés au contact relationnel.

Avant le confinement, les clients étaient intéressés par l’agence et la choisissaient, car elle était basée à Paris et eux également. Le fait d’habiter la même ville facilitait les échanges, ils pouvaient venir directement à l’agence, ils n’étaient donc pas habitués à communiquer autrement. Les clients se déplaçaient pour se sentir rassurer et pour rencontrer convenablement l’équipe de l’agence. L’arrivée de nouveaux clients se faisait souvent grâce aux recommandations des clients déjà satisfaits, mais il a fallu revoir comment démarcher de nouveaux clients depuis cette période.

L’agence a donc utilisé cette période pour revoir sa propre communication, par ses réseaux sociaux et son site. Elle a donc décidé d’améliorer ses réseaux sociaux en ajoutant des publications plus actuelles et à partir de maintenant le fera bien plus souvent. Elle a surtout décidé de faire une promotion vidéo sur Instagram, afin d’attirer de nouveaux clients. Elle a eu grâce à ces réseaux sociaux plusieurs nouveaux clients, qui sont déjà initiés aux moyens de communication actuels. Cela a permis de démarcher des clients venant de la France entière.

Ainsi, l’agence a donc su tirer parti de cette période pour développer de nouvelles astuces précieuses au processus de travail. J’ai pu réaliser que parfois les nouvelles technologies peuvent faire peur à certaines personnes, les clients actuels ou bien les nouveaux, car elles leur paraissent complexes. Depuis le confinement, l’agence a perdu le reflexe de rencontrer directement ses clients, maintenant elle le fait par appel vidéo. Par conséquent, ce qui ne changera jamais dans une relation entre l’agence et le client, c’est le besoin de confiance. Mais je me suis rendue compte que pour avoir confiance en une agence, nous n’avons pas forcement besoin d’une rencontre réelle, elle peut tout aussi bien être virtuelle. En effet, suite à cette période, de nouveaux clients ont accepté de faire confiance en l’agence et en l’équipe sans passer par un rendez-vous en présentiel. De nos jours, nous avons peur que les technologies nous rendent moins humains, mais bien utilisées elles permettent de créer de réels échanges. 

La diversité du métier de directeur.trice de communication

Ayant vécu 3 mois au sein du service communication d’une Grande École appartenant à un campus, j‘ai pu en découvrir davantage sur les métiers de la communication et notamment celui de directeur.trice de communication puisque c’est celui de ma tutrice. La diversité et la pluridisciplinarité de ce métier m’a beaucoup plu et est bien plus importante que ce que je ne le pensais.
Avant mon stage, je pensais que la part de création avait une place importante au sein de ce métier, mais ces 3 mois d’expérience ont pu me prouver le contraire puisque c’est loin d’être l’aspect premier de ce métier. Son rôle est de gérer la communication de manière globale et non pas seulement la communication visuelle. En effet, c’est elle qui est en charge de l’image de l’école en elle-même et de l’image de l’école au sein du campus. C’est donc elle qui va prendre la plupart des décisions, et donner les directives aux autres services. Ses missions peuvent passer de la gestion des réseaux sociaux, à la confection des plaquettes de l’école, à la gestion de campagnes publicitaires, à l’organisation d’événements ou encore la gestion des statistiques de l’école sur le plan média, et bien d’autres encore. De ce fait, j’ai pu remarquer que les qualités principales et nécessaires au directeur.trice de communication, sont la stratégie, le management et le relationnel.
Pour donner un exemple précis concernant la stratégie, j’ai eu l’opportunité de participer à une réunion sur le bilan du plan média de l’année. En effet, c’est la directrice de communication de l’école qui est en charge de collecter absolument toutes les données et analyses des fréquentations sur le site de l’école, réseaux sociaux et les sites des partenaires afin d’en faire un bilan et d’adopter une nouvelle stratégie pour l’année future selon les résultats obtenus. C’est à ce moment que j’ai réalisé à quel point ce métier est d’une immense richesse puisqu’il s’agit en effet de travailler sur la communication au sens très large du terme.
La deuxième qualité nécessaire à ce métier, selon ce que j’ai pu observer, est le management. En effet, c’est une notion plus qu’importante puisque c’est elle qui va prendre les décisions et diriger une équipe de chargés de communication. Même si au sein de mon stage il y avait vraiment un esprit d’équipe entre la directrice de communication et la chargée de communication, c’est tout de même elle la référente, celle à qui l’on va s’adresser lorsqu’il s’agit de faire des choix ou lorsqu’un autre service fait appel au service communication. Le dernier aspect primordial, que j’ai pu remarquer, est le relationnel. Le côté humain, relation, interaction, semble être plus que présent dans son métier, bien plus que ce que je ne le pensais. En effet, elle est en constant contact avec tous les autres services : le service des relations humaines, le service associatif, le service international, le service relations entreprises, et bien d’autres en ce qui concerne les services internes mais c’est également elle qui va être en quelques sortes le porte-parole de l’école pour communiquer avec les prestataires et toutes les relations externes qu’il peut y avoir en lien avec la communication de l’école. De manière globale, j’ai été agréablement surprise de la diversité et de la richesse humaine de ce métier. 

La place de l’entrepreneuriat dans le stage

Ma tutrice est graphiste en freelance, mais elle gère également une boutique de créateurs à Versailles appelée Capsule Market. Céline apporte donc son travail de graphiste dans cette boutique (elle a fait la charte graphique, le site…). Au début, je n’ai pas été beaucoup impliquée dans son deuxième “travail”, je faisais surtout des illustrations, des logos ou encore des maquettes de site qui n’était pas du tout en liaison avec la boutique. Mais au fur et à mesure du stage, Capsule Market a commencé à prendre une place bien plus importante dans mon travail, et vers la fin de mon stage, je ne travaillais quasiment que sur ça. Même si je le savais déjà, cela m’a fait encore plus réaliser à quel point le graphisme est partout et peut être utilisé dans tellement de domaines différents.

J’ai commencé par trier des informations sur le site pour que tout soit le plus clair possible (que les informations soient catégorisées, que lorsqu’on choisisse une couleur pour une objet la bonne photo apparaisse, etc). J’ai ensuite été chargée de faire des “affiches” qui représentent les différentes catégories de la boutique (par exemple le coin “bio”, “we love Versailles”…). J’ai également fait des petites illustrations pour les gestes barrières du coronavirus pour la réouverture de la boutique (le port du masque, 1 mètre de distance…). Le confinement n’était évidemment pas une période facile pour la boutique et il fallait beaucoup communiquer avec les clients par internet, je tenais donc de temps en temps de compte instagram pour poster des photos. 

L’utilisation d’une charte graphique a aussi été un point sur lequel j’ai beaucoup travaillé. Ça n’était pas forcément évident dès le début, mais le simple fait que le site utilise une typographie qui varie souvent les graisses de typo faisait partie de l’univers graphique de Capsule Market, ce que je n’avais pas forcément vu au début. Après avoir fait des illustrations, des animations ou des transitions pour des vidéos où l’univers devait forcément se reconnaître, j’ai fini par avoir un oeil plus attentif pour ce genre de détails.

Le rôle de l’illustration

Tout au long de mon stage, ma tutrice m’a fait faire beaucoup d’illustrations. Elle connaît mon style de dessin qui lui plaît beaucoup. J’avais déjà du mal utiliser mes illustrations comme un support pour le graphisme (j’ai tendance à trop réfléchir comme une illustratrice et pas assez comme une graphiste), et j’ai été étonnée de ce que ce stage a pu m’apporter sur ce point là. Ayant eu plusieurs projets où il nécessitait d’avoir une illustration, j’ai donc été confrontée à plusieurs reprises à cette question : comment mélanger illustration et typographie ? Comment ne pas donner l’impression que le dessin est simplement posé là, mais qu’il communique réellement ? Je devais jouer entre illustration et typographie et rendre un résultat amusant à regarder, tout en laissant les informations bien lisibles. J’avais souvent dû me poser ces questions dans beaucoup de projets à l’école, mais je ne pensais pas que Céline avait besoin d’autant d’illustrations, ce qui m’a énormément plu et permis de m’améliorer. Tout au long de mon stage, ma tutrice m’a fait faire beaucoup d’illustrations. Elle connaît mon style de dessin qui lui plaît beaucoup. J’avais déjà du mal utiliser mes illustrations comme un support pour le graphisme (j’ai tendance à trop réfléchir comme une illustratrice et pas assez comme une graphiste), et j’ai été étonnée de ce que ce stage a pu m’apporter sur ce point là. Ayant eu plusieurs projets où il nécessitait d’avoir une illustration, j’ai donc été confrontée à plusieurs reprises à cette question : comment mélanger illustration et typographie ? Comment ne pas donner l’impression que le dessin est simplement posé là, mais qu’il communique réellement ? Je devais jouer entre illustration et typographie et rendre un résultat amusant à regarder, tout en laissant les informations bien lisibles. J’avais souvent dû me poser ces questions dans beaucoup de projets à l’école, mais je ne pensais pas que Céline avait besoin d’autant d’illustrations, ce qui m’a énormément plu et permis de m’améliorer.

Les étapes dans la réalisation d’un motion et la place du client

Le motion design corporate… une grande découverte

Motion design : Conception d’images en mouvement, par le biais de visuels vectoriels ou matriciels, afin d’y délivrer un message ou une émotion en racontant une histoire.

Je définis le motion design à travers cette définition ci-dessus, mais également par le biais de réalisations que je réalisais ou que je pouvais voir défiler sur les réseaux sociaux tels que les travaux de Ben Marriot, Oelhan, Andrew Vucko partagent. Mais ce n’était que le résultat d’un produit fini sans comprendre l’ensemble du processus et le temps passé derrière, dont les étapes de fabrication d’un motion. Je réalisais déjà quelques motions par le biais de projets scolaires ou personnels, mais cela n’avait absolument rien à voir avec le travail que j’entreprends actuellement chez Gorille. Étant familiarisé à réaliser des motions de quelques secondes à partir de petites illustrations que je réalise dans mon coin, ce fût une sacrée prise de conscience en arrivant chez Gorille. En effet, dès mon arrivée dans l’agence, Davy le directeur artistique, m’a immédiatement mis dans le bain, en m’accordant un projet de motion à réaliser en duo avec une autre stagiaire, ainsi qu’un freelance afin de m’apporter une grande aide à l’animation. De cette manière, j’ai pu découvrir les différentes étapes d’un motion corporate, dont je n’avais aucune connaissance auparavant. Notamment, les étapes fondamentales qui permettent d’avoir une idée commune et précise du motion que le client souhaite, donc tout d’abord : 

  1. Le call avec le client : A chaque début de projet, Rémy, le directeur de l’agence ainsi que Davy, effectuent des calls en visioconférence avec le client afin de déterminer toutes les informations nécessaires pour déterminer le motion qu’il souhaite comme : l’univers du client, la durée du motion, le message, le délais, le budget, leurs chartes graphiques (s’ils en ont) et bien d’autres.
  2. . Le script : Une fois, le call réalisé avec le client, Simon, le rédacteur qui travaille avec Gorille à plein-temps, détermine le script selon les notes des clients et la durée du motion, afin de réaliser un motion qui soit en accord avec le message que souhaite délivrer le client.
  3. Le style : Suivant la validation du script, on réalise une série de déclinaisons de styles depuis la charte graphique qu’on nous a transmis. A ce que le client puisse valider l’univers graphique du motion, avant l’étape de production. Le style permet d’avoir un avant-goût de ce que pourrait être le motion avant la réalisation du storyboard. Il peut également s’accompagner d’une phase de teaser, pour que le client puisse réellement faire un choix, sans faire marche arrière lors de l’étape suivante, pour éviter de perdre du temps.
  4. Retours : Entre-temps, j’ai eu l’occasion de réaliser des calls avec des clients pour valider les différentes étapes, de manière de ne pas partir sur un quiproquo. C’est assez nouveau pour moi puisque je n’ai jamais eu l’opportunité de travailler pour un réel client, donc effectuer des calls régulièrement, présenter nos productions, recevoir des retours c’est plutôt inédit, mais on se rend réellement compte dans le monde du travail, particulièrement dans la création, la place du client et sa satisfaction dans notre champ du design est plus qu’importante.
  5. Storyboard : Passer la validation du style, on s’attaque à la phase du storyboard. Cette étape est cruciale puisqu’il s’agit de décomposer l’animation selon le script. C’est-à-dire, qu’on sépare chaque phrase du script, pour représenter une idée en particulier, de manière explicite.
  6. L’animation / montage / voix off : Pour terminer, après avoir valider définitivement le storyboard, on passe à l’animation puis le montage et enfin l’ajout de bandes sonores dont les différentes musiques, bruitages et voix-off.

Après avoir travaillé dans d’autres projets, ces étapes paraissent plutôt ordinaires, puisque cette mécanique chez Gorille se retrouve dans chaque projet. Or, en réalisant mon premier projet cela m’a paru assez étrange d’autant décomposer les différentes phases du projets, car j’étais familiarisée à réaliser des petites animations sans passer par la phase du style, teaser, du storyboard détaillé.

De plus, lors du premier motion que j’ai réalisé, j’ai pu découvrir le “les codes du motion corporate” comme l’ajout de sound-design, les transitions entre chaque plan (jamais de cut !). Et c’est vrai, désormais lorsque je regarde des vidéos références, ou des motions qui défilent à la télévision, je fais désormais énormément attention à ce type de détails tels que les cuts, le cadrage, l’enchaînement des plans, les bruitages, la musique alors qu’auparavant j’y prêtais aucune attention particulière. Ces projets m’ont apporté une grande sensibilité visuelle et sonore, un grand sens du détail, puisque désormais je ne peux pas faire abstraction d’avoir un regard critique dans tout ce que ou ce que je vois, ou ce que je fais notamment, depuis que j’ai découvert le motion corporate et que je travaille pour des clients.

Travailler avec un client m’est totalement nouveau, alors je me suis demandé si produire à destination d’un client allait changer ma méthode de travail, allait-il me faire sortir de ma zone confort et me rendre beaucoup plus exigeante et avoir un regard beaucoup plus critique dans mon travail ?

Réaliser des projets à destination du client, ça n’a absolument rien à voir avec des projets personnels, puisqu’il y a une charte et des délais à respecter, mais également exposer nos idées et productions pour montrer l’avancement du projet, et le chemin sur lequel on part et l’argumenter. Je réalise que ce n’est absolument pas aussi facile que l’on pense, particulièrement lorsque nous avons à faire à des clients assez peu ouvert ou exigeant, et donc ça demande souvent de la patience, de l’écoute, de ne pas avoir peur de retourner en arrière, de refaire même 7 fois s’il le faut. De même, si la charte graphique ou le style ne nous plaît pas, il faut faire preuve de bienveillance et faire abstraction de nos goûts personnels etc. Toutefois, travailler dans un univers dans lequel on ne connaît pas, permet de sortir de notre zone de confort, d’explorer d’autres univers graphique, mais également culturel, et nous rendre sensible à des causes.

Cette expérience m’a fait réalisé la réalité du monde du travail, particulièrement dans le champ de la création et sa hiérarchisation entre le client et le créatif. Même si nous représentons 90% du travail produit, la place du client sera toujours plus importante face au créatif.


Le fonctionnement et l’organisation au sein de l’agence durant le confinement

Le confinement… un sacré bouleversement

La mise en quarantaine a considérablement chamboulée l’organisation de chacun, en passant par les étudiants, l’autonomie est devenue une réelle nécessité, afin de conserver son programme habituel. Ma réelle hâte durant le confinement était le début du stage chez Gorille ! Beaucoup d’émotions se mélangent entre de l’excitement de découvrir une nouvelle phase dans ma vie d’étudiante en design graphique, et de la joie de réaliser à nouveaux, mais également de l’appréhension de me familiariser à une nouvelle organisation de travail durant une période autant anxiogène, puisque l’agence a totalement revu l’organisation depuis le confinement. En effet, la mise en quarantaine a entraînée l’agence a fonctionné uniquement via le télétravail, ce qui indique les réunions skype chaque matin, afin de faire un point avec l’ensemble de l’équipe. Afin de prendre des nouvelles de chacun et organiser la journée les projets et missions, de cette manière personne ne pourra être perdu. J’ai appris que l’agence avait au total 80 projets en parallèle ce mois-ci malgré le confinement.

Ainsi, je me suis demandé comment l’agence Gorille fonctionne particulièrement comment s’opère l’organisation en équipe, quels sont les outils utilisés, et comment l’agence gère pour conserver la même cadence de travail au temps du confinement ?

En effet,  garder la même cadence qu’aux bureaux n’est pas une tâche facile. Cela demande toute une réorganisation de l’équipe, et du processus de création, car également Gorille emploie plus d’une dizaine de salariés, qui opèrent des missions allant de la conception de visuels à l’animation. Sans compter, les freelances qui les accompagne plusieurs jours par semaine, afin d’intervenir dans des projets selon leurs qualifications :

– Dont Martin, un ancien stagiaire, avec qui j’ai eu l’occasion de travailler, il intervient après chaque validation du storyboard par le client, pour passer à l’animation. Il travaille la plupart du temps quelques jours par semaine, dans des projets avec des délais assez courts, ou dans des projets qui nécessite une certaine technique d’animation.
– Puis, Isabelle, une illustratrice, elle intervient généralement après la validation du style, afin d’aider à la construction de planches storyboards, qui demandent du temps selon certains projets. Elle présente une grande aide aujourd’hui pour garantir les livraisons de productions.
– Enfin, Naomi, également une illustratrice, elle affiche un profil assez polyvalent dans l’agence, comme la réalisation d’identité visuelle, d’illustration, de planches de style ou de storyboard, mais elle n’est présente que selon ses disponibilités.

Une fois la présentation de l’équipe, j’ai pu découvrir le fonctionnement de l’agence, notamment le workflow. Ce fut plutôt étonnant, je ne me doutais pas en aucun cas que les agences puissent utiliser autant de logiciels et plateformes pour gérer les projets, les calls avec les clients, la présentation des visuels, le planning etc…

Les outils extrêmement pratiques :

  • Conceptboard c’est une plateforme collaborative pour gérer des projets, au sein de l’agence nous l’utilisons principalement pour le planning  et le dépôt des visuels de chaque projets, pour les planches de styles et de storyboard. Et c’est une réelle découverte, car c’est un outil extrêmement performant et intéressant pendant le processus d’un projet !
  • Slack la messagerie des professionnels, super utile lorsqu’on souhaite s’envoyer des shutter, ou des images
  • Synology Drive – le réseau en ligne des entreprises, alors je ne connaissais en aucun cas de ce type de logiciel. En vue de la grande quantité de dossiers de projets qui ne font que s’accumuler, les agences ont pour l’habitude de faire appel à un stockage en ligne sécurisé pour stocker l’ensemble des dossiers, afin d’avoir une trace, ou de faire des modification sur des projets datant de plusieurs mois voir d’années. Et bien d’autres…
  • Zoom – pour effectuer des call avec les clients

Conceptboard et Synology Drive font partie des outils auxquels nous utilisons quotidiennement, le réseau en ligne nous sert de dépôt et d’échange de dossiers. Quant à la plateforme en ligne, elle est nécessaire dans notre travail, puisqu’elle sert de lien de proximité entre le graphiste et le client, nous y déposons l’ensemble de nos visuels dessus, de cette manière le client peux y jeter un oeil sur l’avancement du projet et interagir avec nous à tout moment.

Dès le commencement du stage, l’équipe été mise à disposition pour trier l’ensemble des fichiers sonores, que ce soit bruitages, musiques etc.. Afin de réaliser une base de donnée en ligne avec l’ensemble des fichiers sonores triés, et accessible pour n’importe quel membre de l’équipe. En premier lieu, je ne saisissais pas la réelle utilité de développer un réseau pareil (oui il y a énormément de fichiers), je venais d’arriver et n’avait pour l’instant animer qu’un seul motion, avec une musique et quelques bruitages. Donc, je ne comprenais pas l’inconvénient que cela pouvait produire, de chercher manuellement les différents fichiers sonores nécessaires, dans les dossiers. Mais j’ai réalisé, après avoir visionner plusieurs motions réalisés par l’Agence, que certains projets demandent beaucoup de mixages sonores, ainsi cette base de donnée présente un réel atout très pratique, puisqu’il n’est plus nécessaire de chercher durant plusieurs minutes, voire des heures, nous réalisons un important gain de temps grâce à cette plateforme.

L’organisation en équipe :

Familiarisée à effectuer des projets seuls, ou des missions de manière individuelle lors de projets de groupe; réaliser des projets parfois à deux, à trois, voir plus, est assez particulier durant les premiers jours. Premièrement, le système de rangement de dossiers, demande beaucoup plus de rigueur qu’habituellement. Étant plusieurs à effectuer des modifications dans le même dossier, cela demande une importante organisation, que tout soit renommer identiquement, bien ranger dans le dossier et accessible depuis le réseau en ligne.

Ainsi, dès le début du confinement l’équipe a organisé un système de classification pour chaque projet, de cette manière lorsque nous téléchargeons un projet depuis le réseau, à l’intérieur nous retrouvons :

  • Eléments clients – l’ensemble des documents nécessaires pour effectuer des visuels, tels que la charte graphique, le logo format .ai ou .png, des photos, des exemples, le script etc..
  • Les planches de styles et storyboards – l’ensemble des planches de styles, les planches, storyboards et bien d’autres. Elles requièrent un certain nom de qualification type : Planche01_NomDuProjet De cette manière, lorsque les clients demandent des fichiers en particulier, Davy peut les retrouver sans devoir demander à quelqu’un
  • Les fichiers after / premiere et export / sonores – le dépôt de fichier .ae, pour pouvoir modifier à n’importe quel moment, même après la livraison des productions
  • Shutterstock et Archive – Si nous nécessitons des fichiers shutter, ou des planches d’autres projets, nous les déposons dans ces dossiers

C’est tout un système de rangement qui s’avère être efficace, car depuis je suis chez Gorille, j’utilise le réseau plusieurs fois durant la journée, cela permet de se retrouver plus facilement.

“Afin que d’autres qui viennent d’arriver dans le projet, ou que toi dans le futur puissent retrouver les fichiers sans chercher pendant des heures, ou faire appel à quelqu’un”

Cette phrase, semble encore plus véridique aujourd’hui, à tel point je l’ai entendu durant le premier mois de stage, ainsi qu’à travers les propos de Mme Even. Ça ne m’a jamais été autant bénéfique, on ne se rend absolument pas compte qu’une simple règle de rigueur et d’organisation, puisse autant nous faciliter la vie. D’autant plus pendant le confinement, où l’on demande de garder cette même cadence, cette même rigueur pour chacun, ce qui explique l’ensemble de ces systèmes mises en place durant le confinement qui serviront aussi pour la suite. Désormais, lorsque les projets demanderont à être en groupe ou même seule, je ne pourrai pas m’empêcher d’établir ce type de règle de classification de dossier. De même, utiliser les nouveaux outils que j’ai découverts, afin de me les réapproprier durant mes projets, afin d’y apporter beaucoup plus d’importance à ma propre gestion des projets, qui me feront gagner un énorme gain de temps et d’énergie.